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Photographie | Dessins et plans | Animaux | Animaux aquatiques | Ornithologie | Oiseaux échassiers | Répartition géographique des animaux | Mammifères aquatiques | rongeurs | Géographie | Australie | Reptiles | Animaux sauvages | Cycle de l'azote | Azote | Cartes du monde | Oiseaux aquatiques | Biologie marine | Chiens de recherche et de sauvetage | Dessin en noir et blanc | ...
flamant. Source : http://data.abuledu.org/URI/510f891f-flamant

flamant

Les flamants sont de grands oiseaux aquatiques (de 80 à 145 cm) à longues pattes et long cou. Ils ont un bec à l'aspect unique, dont la mandibule inférieure est plus développée que la supérieure.

Prostheceraeus vittatus ou Planaire Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/53871781-prostheceraeus-vittatus-ou-planaire-blanche

Prostheceraeus vittatus ou Planaire Blanche

Photographie sous marine d'un Prostheceraeus vittatus ou Planaire blanche. C'est un ver plat tout petit (entre 2 et 5cm) qui fait quelques milimètres d'épaisseur. Des cils vibratiles sur son ventre lui permettent de glisser sur le sol. Ces vers plats n'ont pas d'anus et éliminent une partie de leurs excréments par osmose.

Spatule d'Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d55185-spatule-d-afrique

Spatule d'Afrique

Spatule d'Afrique (Platalea alba) cherchant sa nourriture. Volière africaine, ménagerie du Jardin des Plantes de Paris. Elle se nourrit de poissons, de grenouilles et autres animaux aquatiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Spatule_d%27Afrique

Aquarium du XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51db5014-aquarium-du-xixeme-siecle

Aquarium du XIXème siècle

L'existence du cycle de l'azote et son importance pour la survie des animaux aquatiques en milieu clos a été découverte en 1805. Les premiers aquariums ont été construits en Angleterre en 1850. Ils sont inspirés de la caisse de Ward, une serre d'horticulture en verre. Le néologisme aquarium a été créé par contraction de aquatic et vivarium. L'idée était de créer un lieu en circuit fermé, dans lequel les organismes vivent en équilibre naturel, contrairement aux vivariums et bassins qui étaient jusqu'alors des circuits ouverts. L'intérêt pour les aquariums dans les années 1850 est venu d'un intérêt grandissant pour la vie marine, un sujet encore en grande partie inconnu, et tabou jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.

Cachalot. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ebec4c-cachalot

Cachalot

Un groupe de grands cachalots près de la côte de Maurice. Grand cachalot (Physeter macrocephalus) est un genre de mammifères de l'ordre des cétacés. Il a une répartition cosmopolite, fréquentant tous les océans et une grande majorité des mers du monde. Cependant, seuls les mâles se risquent dans les eaux arctiques et antarctiques, les femelles restant avec leurs jeunes dans les eaux plus chaudes. Le mâle peut atteindre plus de vingt mètres de long, faisant de l'espèce le plus grand carnassier au monde.

Carte de répartition du plongeon à bec blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/51351f0d-carte-de-repartition-du-plongeon-a-bec-blanc

Carte de répartition du plongeon à bec blanc

Carte de répartition mondiale du plongeon à bec blanc (Gavia adamsii). Cette espèce, comme tous les plongeons, capture ses proies sous l’eau ; il est un essentiellement piscivore, mais se nourrit aussi d'invertébrés aquatiques. Il niche dans la toundra arctique (Russie, Alaska et Canada), en bordure de lacs et de rivières à faible courant. Il hiverne en mer, surtout au large des côtes de Norvège et de l’Ouest du Canada mais on peut parfois le rencontrer sur des grands lacs de l’intérieur des terres ou dans la mer Baltique. Cet oiseau migrateur arrive sur les zones de nidification avant la fonte complète des glaces. Il se nourrit alors dans les zones d'eau libre mais n'hésite pas à plonger sous la glace à la recherche de ses proies.

Castor. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe99e4-castor

Castor

Le genre Castor est le seul, au sein de la famille des Castoridae, à contenir des espèces non éteintes de ces rongeurs semi-aquatiques : le Castor européen (Castor fiber), présent en Eurasie, et le Castor du Canada (Castor canadensis), naturellement présent en Amérique du Nord et récemment introduit en Amérique du Sud.

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a2e0-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation. Les végétaux absorbent grâce à leurs racines les ions nitrate (NO3-) et, dans une moindre mesure, l'ammonium présent dans le sol, et les incorporent dans les acides aminés et les protéines. Les végétaux constituent ainsi la source primaire d'azote assimilable par les animaux. En milieu anoxique (sol ou milieu aquatique non oxygéné), des bactéries dites dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz diazote, c'est la dénitrification.

Cycle de l'azote dans un aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a1e5-cycle-de-l-azote-dans-un-aquarium

Cycle de l'azote dans un aquarium

Cycle de l'azote dans un aquarium : 1 - Nourriture et nutriments, 2 - Production d'urée et d'ammoniac, 3 - Ammoniac → nitrites, 4 - Nitrites → nitrates (Nitrospira), 5 - Evaporation, 6 - Lumière, 7 - Sol, 8 - Oxygène, 9 - Gaz carbonique. Dans un aquarium, ce sont les déjections des poissons et la nourriture non consommée qui sont à l'origine de la formation d'ammoniac. Ce produit extrêmement toxique pour les animaux aquatiques est transformé en nitrates beaucoup moins toxiques et bénéfiques pour les plantes par des bactéries présentes naturellement ou artificiellement (plantées) dans l'aquarium. Les bactéries nitrosomonas transforment l'ammoniac en nitrites, eux-mêmes très toxiques pour les animaux aquatiques. Et les bactéries nitrobacter transforment les nitrites en nitrates. Nitrates qui sont alors absorbés par les plantes présentes dans l'aquarium.

Cycle de vie des Angiospermes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6199-cycle-de-vie-des-angiospermes

Cycle de vie des Angiospermes

Cycle de vie d'une Angiosperme. La division Magnoliophyta, ou angiospermes, regroupe les plantes à fleurs, et donc les végétaux qui portent des fruits. Angiosperme signifie « graine dans un récipient » en grec par opposition aux gymnospermes (graine nue). Ils représentent la plus grande partie des espèces végétales terrestres, avec de 250 000 à 300 000 espèces. Les angiospermes diffèrent cependant des autres plantes à graines par la présence des caractères suivants : 1) la condensation des organes reproducteurs en une fleur ; 2) la présence d'un ovaire enveloppant les ovules, et qui se développera pour donner un fruit ; 3) la double fécondation de l'ovule, qui donnera l'embryon et son tissu nourricier, l'albumen. La fleur et le fruit, qui sont propres à ce groupe, entraînent, pour de nombreuses espèces, une interaction avec les animaux dans la reproduction (pollinisation par les insectes, zoochorie...). Les angiospermes dominent les paysages naturels terrestres tropicaux et tempérés, comme la savane ou la forêt. Ils laissent la place aux résineux (Pinophytes) et aux lichens dans les biotopes les plus froids. Ils sont aussi présents dans les milieux aquatiques (Zoostère...).

Forêt galerie. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a313f-foret-galerie

Forêt galerie

Forêt galerie (Comté de Putnam, Ohio, Lac Erié) : Les ripisylves de deux cours d'eau se rejoignent ici pour former une forêt-galerie. On parle de forêt-galerie lorsque la canopée est jointive au-dessus d'une rivière ou d'un petit fleuve, ou d'une zone humide (la présence de l'eau pouvant éventuellement être temporaire). Du point de vue de l'écologie du paysage, la forêt-galerie constitue un type particulier de corridor biologique ; à la fois forestier et aquatique ou palustre). Elle contribue par sa canopée jointive à faciliter la traversée de cours d'eau à un certain nombre d'espèces, soit par la canopée (écureuils, petits mammifères, insectes), soit via les nombreux troncs d'arbres morts ou vivants qui font "pont" au-dessus de la rivière. La forêt galerie entretient un microclimat plus tempéré au-dessus de la rivière.

Gavial. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ead10d-gavial

Gavial

Gavialis gangeticus, le Gavial du Gange, est une espèce de crocodiliens de la famille des Gavialidae1, la seule du genre Gavialis. Sa longueur peut atteindre plus de 6 mètres, soit autant que le crocodile marin. Il est reconnaissable à ses mâchoires particulièrement étroites et allongées. Chez les mâles de plus de 4 mètres, la longueur de la protubérance spongieuse sous le museau peut atteindre jusqu'à six fois sa largeur. Le Gavial du Gange a 29 dents de chaque côté de la mâchoire supérieure et 26 dents de chaque côté de la machoire inférieure. II porte des plaques osseuses sur les côtés de la nuque et du dos. C'est le plus adapté à la vie aquatique des crocodiliens. Revers de la médaille, il ne semble pas capable de marcher comme le font les autres membres du groupe lorsqu'ils sortent de l'eau. Les œufs de gavial sont plus gros que ceux des autres crocodiliens. A l'éclosion, les jeunes mesurent environ 35 cm de long. La taille du jeune gavial augmente en moyenne tous les deux à trois ans d'environ un mètre, dans un milieu sans présence humaine.

La grenouille rieuse en France en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/5351a5a1-la-grenouille-rieuse-en-france-en-2003

La grenouille rieuse en France en 2003

Carte de répartition et d'abondance de la grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus) d'après Duguet et al "Les Amphibiens", Parthénope, 2003 : en vert, commun ; en orange, rare ; en violet, très rare ; en bleu, absent. Cette espèce se rencontre principalement en plaine et en moyenne montagne jusqu'à 800 m d'altitude. Elle apprécie les grandes rivières aux rives bien ensoleillées ainsi que les plans d'eau de superficie importante et d'au moins 50 cm de profondeur, comme les étangs et tourbières, dans leurs parties très ensoleillées. C'est souvent le seul amphibien présent dans les plans d'eau riches en poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grenouille_rieuse Cet animal a un mode de vie très aquatique, contrairement à la Grenouille rousse qui ne s'éloigne que peu de l'eau.

Ornithorynque d'Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e26095-ornithorynque-d-australie

Ornithorynque d'Australie

L'ornithorynque est un mammifère semi-aquatique avec une queue de castor qui lui sert à la fois de gouvernail dans l'eau et de réserve de graisse, des pattes de loutre et un bec de canard. C'est l'un des rares mammifères venimeux : le mâle porte sur les pattes postérieures un aiguillon qui peut libérer du venin capable d'infliger de vives douleurs à un être humain. Il a été utilisé comme mascotte pour de nombreux évènements nationaux et il figure au verso de la pièce de 20 cents australiens.

Petit ibis. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7ab58-petit-ibis

Petit ibis

Petit ibis.

Plantes de la mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dea3b-plantes-de-la-mer

Plantes de la mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.228 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES DE LA MER. - Sous la mer, il existe des montagnes et des vallées, des vallées impénétrables, de vastes prairies où viennent brouter les animaux marins. Les principales plantes de la mer sont les algues et les varechs. On y trouve aussi un grand nombre d'animaux-plantes, comme le corail et la méduse représentés dans la gravure.

Ragondin. Source : http://data.abuledu.org/URI/51028f27-ragondin

Ragondin

Le ragondin ou castor des marais (Myocastor coypus), appelé aussi autrefois myopotame, est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires.

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.

Taupe à nez étoilé. Source : http://data.abuledu.org/URI/549defe4-taupe-a-nez-etoile

Taupe à nez étoilé

Taupe à nez étoilé du Canada (Condylura cristata, Linnaeus, 1758). Muséum de Toulouse. Le Condylure à nez étoilé est gris. Il a une longueur totale de 16,2 à 23,8 cm incluant une queue de 6 à 9,2 cm de long. Ses pieds mesurent entre 15 et 32 mm. Son museau qui mesure 1 cm de largeur a la forme d'un disque dénudé muni de 22 tentacules symétriques ; ceux-ci ne sont pas des organes d'odorat, mais plutôt des organes tactiles qui peuvent bouger dans tous les sens et qui servent à explorer l'environnement ou à chercher de la nourriture puisque la vue du Condylure à nez étoilé est très faible. De plus, le museau est doté de plus de 100 000 fibres nerveuses et 30 000 organes d'Eimer. Certains tentacules sont plus longs que d'autres, ce sont les premiers à entrer en contact avec la proie, alors que d'autres ne servent qu'à la diriger vers la bouche. D'autres encore peuvent être des électro-senseurs qui émettent des champs magnétiques. Les individus adultes ont un poids se situant entre 31,5 et 77 g tandis que les nouveau-nés pèsent 1,5 g. Les mâles et les femelles ont sensiblement la même taille. La longévité du Condylure à nez étoilé peut atteindre trois ans en milieu naturel. Il se nourrit de petits invertébrés aquatiques, de crustacés, de mollusques et de vers. Il lui arrive aussi de se nourrir de petits poissons. Il chasse dans ses galeries et perçoit ses proies grâce à son ouïe et son toucher, car il est dépourvu d'odorat. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condylura_cristata

Terre-neuve noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e25849-terre-neuve-noir

Terre-neuve noir

Jeune terre-neuve (Canis lupus familiaris) de seize mois nommé Smoky, et pesant 79 kilos. Le Terre-neuve (ou Retriever de Terre-Neuve) est une race de chien originaire de l'île de Terre-Neuve, Canada, à forte taille et présentant généralement une épaisse fourrure noire, reconnue pour sa beauté. Il est apprécié pour sa force, sa loyauté et ses aptitudes aquatiques. On le surnomme aussi NewFoundland, Newfie, Saint-Bernard des mers.

Tortue à nez de cochon d'Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b9a1-tortue-a-nez-de-cochon-d-australie

Tortue à nez de cochon d'Australie

La tortue à nez de cochon est une espèce unique en son genre pour une tortue d'eau douce. Elle mesure environ 55 cm de long pour un poids de 22 5 kg pour les plus grandes. Leur carapace est uniformément grise sur le dos avec une texture rappelant le cuir tandis que le plastron est couleur crème. Les pattes sont transformées en nageoires comme chez les tortues de mer. Le nez ressemble au groin du cochon d'où son nom. C'est un animal omnivore consommant une grande variété de plantes et d'animaux mais son alimentation préférée semble être les feuilles et les fruits d'un figuier australien. Ce sont des tortues uniquement aquatiques et seules les femelles sortent de l'eau pour pondre dans le sable. C'est la seule tortue dont les œufs n'éclosent que dans l'eau. Elle les pond très haut sur les berges, ainsi ils éclosent lors des grandes crues, le meilleur moment pour les petits.

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.